Simple comme Sylvain - Quand les Étincelles font voler la poussière.
Dans un monde où l'on confond Rimbaud avec Sardou, Simple comme Sylvain nous rappelle que l'amour, aussi absurde et improbable soit-il, demeure le plus grand des architectes même des univers les plus divergents.
Ce film brille par son excellence et son scénario bien ficelé. Fortement soutenu par l'exceptionnel travail d’André Turpin, il s'éloigne de l'emblématique "scope Dolanesque", tout en préservant une affection pour des prises en 35 mm d'une beauté renversante. On retrouve également un petit clin d'oeil aussi bien visuel que musical aux films des années 70.... forcement, c'est venu me chercher ;-)