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Woodlands Dark and Days Bewitched: A History of Folk Horror 2021
"There's smoke on the water
It's been there since June." -
Livrés chez vous sans contact 2021
J'espère réussir à mettre la critique que j'ai enregistrée avec l'ami Simon sur Facebook... Guzzo devrait avoir honte de présenter ce truc en salles en le faisant passer pour un long métrage. Il s'agit en fait d'un immense attrape-nigaud qui, dois-je l'admettre, s'avère efficace parce que je suis allé le voir...
Le pire est que Guzzo l'a vendu comme le coup d'envoi d'un "retour à la normale", avec projection sur grand écran et friandises. Si c'est ça le "monde d'après", hé bien je préfère rester confiné.
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Surf II: The End of the Trilogy 1984
Quel film pareil... un gros délire du début à la fin, qui est tantôt insouciant (les blagues transphobes, iiche), tantôt inventif (l'emploi d'un split screen qui, finalement, n'en est pas un). L'humour nonchalant réussit à diluer les incohérences dans un breuvage très sucré, qui porte d'ailleurs le même nom que la boisson gazeuse dans Les Simpsons...
Et je me félicite un peu d'avoir convaincu Sylvain de regarde ça avec moi. J'espère maintenant qu'il voudra découvrir le reste des Blu-Ray que j'ai commandés chez Vinegar Syndrome...
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The Road to God Knows Where 1990
Ce film, plutôt une succession de rushes, m'a laissé tellement indifférent que je ne peux logiquement lui accorder d'étoiles.
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Dark Skies 2013
Encore un film que je débute trop tard au retour du travail, en sachant pertinemment que je vais m'endormir. Si je le recense dans ce journal, c'est uniquement par souci d'exhaustivité. Je vais peut-être y revenir avec l'esprit plus éveillé (ça reste une production Blumhouse), mais j'en doute.
Ah oui, j'ai cru reconnaître lors du générique d'ouverture la maison de Sinister. Quelqu'un peut me dire si c'était bien elle?
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Butcher, Baker, Nightmare Maker 1981
Oh, j'ai honteusement oublié d'inclure ce film dans mes visionnements. Il est difficile de lui accorder un nombre d'étoiles tellement il s'avère douteux. Pour souligner le désarroi qu'il m'a fait vivre, un petit coeur froissé suffira.
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Poor Pretty Eddie 1975
Ouf, je crois pas pouvoir donner une note à ce film-là. J'ai vu mon lot d'oeuvres malsaines, mais très peu qui atteignent ce degré d’ignoblement. A Serbian Film est de la petite bière à côté de ça.
Le pire dans tout cela: Poor Pretty Eddie est amoral au point d'en devenir franchement fascinant. Dans une perspective bataillienne, son désir de subversion provoque une certaine admiration. Faire l'éloge de ce film n'en demeure pas moins condamnable. Il y a des limites à défendre l'indéfendable.
À fuir, surtout si on aime les tomates.